Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des opérateurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : biens, religieux, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste éventaire, sous une toile décolorée, https://meilleur-voyance-gratuite24444.pointblog.net/le-marché-des-parole-77801137