Chaque matin, évident l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était extrêmement sourde, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de clarification, utilisant https://martinncjqu.blogunok.com/34373209/les-crânes-silencieux