Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une respiration lente, une marotte née d’un geste ancien répété sempiternellement. https://voyance-gratuite-en-ligne80098.blogdigy.com/le-feu-des-contours-51271314